L'amour. Je comprends. Peu à peu. C'est l'autre qui ne ressemble plus à rien d'excitant. Il y a de la fougère, du soleil et pas assez d'eau. L'araignée veut prendre son envol. Mais comment marcher avec des talons sur des glaçons en papier? Il y a du vert, sûrement ton sang. Pas de paroles. L'odeur de ta paille baveuse entre la peau de mes seins. Trop de cailloux. Comment vivre sans toi? Mordre et plonger la cicatrice dans une mare d'eau de Javel. Je n'ai plus faim. Ma vie pour du fromage. J'ai la nuque brisée par ma chevelure. Tout couper au sabre. Il y aura ta bite et tout le reste, mon quotidien, le quodien des gens; le mien. J'ai une odeur de vomi qui remplit les interstices de mes dents. Il y aura ta bite et ma pourriture. Tralala.
samedi 30 janvier 2010
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Le chaos qui crée l'harmonie, on ne comprend rien et on comprend tout en même temps. J'aime toujours, keep going!!!!
RépondreSupprimerCet enchevêtrement de phrases est beau, fort, touchant, troublant. Ne t'arrêtes pas d'écrire !
RépondreSupprimerBises
Hélène
J'oubliais la photo est vraiment très belle !
RépondreSupprimerHélène